« Sans Mamas for Africa, je ne serais plus là »

Julie, mère de quatre enfants et survivante

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Désavouée... mais pas par Mamas for Africa

« Ici, dans l'est du Congo, nous nous rendons parfois dans la forêt pour cueillir des baies et des plantes comestibles. Mais récemment, les choses ont mal tourné. Trois hommes sont apparus. J'ai été violée et battue comme un animal. À la maison, j'ai également été reniée par mon mari ».

La parole est à Julie, mère de quatre enfants et survivante.

« Normalement, je ne m'aventure pas dans la forêt. Cette fois-ci, malheureusement, la faim après une mauvaise récolte ne m'a pas laissé le choix. Deux femmes du village m'ont convaincu de les accompagner. Une mère est prête à tout pour nourrir ses enfants. Malheureusement, cela a mal tourné ».

(lire la suite sous la photo)
 
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Outre l'aide médicale, nous fournissons également des soins psychologiques indispensables.

Lorsqu'elle a été violée, Julie a été reniée par son mari. En plus du chagrin extrême causé par l'agression sexuelle, elle a donc dû faire face à cette situation. Nos psychologues ont commencé à lui parler pour guérir ce traumatisme. Nous avons également continué à parler à son mari et à sa famille dans l'espoir de briser le tabou. Avec des résultats !
 

Dans l'est du Congo, les femmes violées sont souvent reniées, en particulier dans les villages isolés.

La peur et la honte jouent un rôle majeur. Grâce à la prévention, à la médiation et à la sensibilisation, Mamas for Africa parvient à briser les vieux schémas.

(lire la suite sous la photo)

 

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« Sans Bora (l'employée de Mamas for Africa), personne ne m'aurait aidée »

Mamas for Africa est la seule organisation présente dans la région où vit Julie. Nos infirmières, psychologues et assistantes psychosociales s'y rendent régulièrement pour soigner des femmes victimes de violences sexuelles ou souffrant de pathologies graves telles que le prolapsus utérin et la fistule, mais qui n'ont pas accès à un hôpital. C'est ce qui nous rend absolument uniques !

Grâce à votre soutien, Julie n'est pas seule!

C'est pourquoi, cher lecteur, je vous adresse cette demande urgente. Allez-vous donner à Julie et aux autres victimes de violences sexuelles une chance de guérison mentale et de réintégration dans la famille ?

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